Petit frère de la chaîne Hôtelière OCEANIA, et appartenant au Groupe du même nom, le NOMAD Hôtel de CDG (situé très exactement dans le bourg du Mesnil-Amelot) a vu le jour en Décembre 2014.
Nomad hôtel n’est pas tout à fait comme les autres, c’est un concept 100% voyageur, pour ne pas dire nomade. Un produit idéal pour les globe-trotteurs épris de liberté, et toujours en transit entre deux avions, entre deux escales, et surtout pas esclaves, ni du temps, ni des contraintes hôtelières rigides d’hier. Des hôtels avec un esprit de liberté, proposant un espace bien pensé dans les zones publiques et communes, offrant ainsi une fluidité dans le parcours du client, le tout, encadré par un personnel convivial, ouvert aux hôtes de passage.
Tout commence, dès l’accueil, sans lobby traditionnel, l’hôte voyageur fait face à un vaste espace, habillé de différents univers, qui sont autant de zones libre d’accès pour tous, à tout moment et pour toute fonctionnalité.
Le restaurant buffet, sans cesse réapprovisionné fonctionne en self service, à toute heure ou presque. Un avion retardé, ou une arrivée tardive à l’hôtel, ne se vit jamais comme un handicap en matière de restauration à l’Hôtel Nomad. Le buffet d’entrées et les plats chauds sont rechargés et sous surveillance concernant leur quantité et leur fraîcheur. Les boissons se prennent en self service, et le client est facturé pour ce qu’il a consommé, tant en solides qu’en liquides. Et tard dans la nuit, les distributeurs de sandwiches et autres salades fonctionnent à merveille pour la faim qui tenaille. Ici, on peut dîner en table individuelle, sur table d’hôtes rehaussée avec d’imposants tabourets, autour du comptoir central. On peut aussi emporter son assiette dans un des salons, autour de l’âtre d’un feu, là où certains sirotent leur boisson ou cocktail favori, alors que d’autres consultent leur e-mails.
Justement, à propos d’ordinateur, Nomad Hôtels a pensé à tout, ou presque, avec une immense table, véritable espace mi co-working, mi business centre. On vient, on lit, et on envoie ses mails, on publie sur les raisons sociaux, tout en avalant, une salade, un plat chaud.
Tout près de là, il y a un mur rempli de casiers comme dans une consigne. Un service pensé pour ceux qui ont de volumineux bagages, et qui ne souhaitent pas les monter dans la chambre, ou qui veulent avoir accès à des vêtements et autres accessoires nécessaires au séjour. Chacun possède ainsi sa consigne avec code. Et nec plus ultra, il y a aussi des coffres individuels permettant d’y mettre des objets de valeur. Confidentialité et sûreté garantie.
Dernier service inhabituel pour un hôtel, une laverie en self service pour dépanner les voyageurs au long cours qui fonctionne 24h/24 et 7j/7. Un outil bien pratique au service de la clientèle.
Et puis, il y a les chambres bien sûr, avec un véritable concentré de technologie partout, dans un univers que l’on aménage à sa guise.
Les lits, ou au moins un, sont sur roulettes, et s’orientent selon votre humeur et votre sensibilité au « Feng Shui ».
Une tablette tactile commande tous les équipements de votre chambre : la climatisation, l’ambiance lumineuse, un vidéoprojecteur avec toutes les chaînes de la TNT (aussi bien qu’une TV) qui projette les programmes sur le mur blanc de la chambre. Les enceintes sont de haute facture prodiguant une qualité audio unique. Le wifi est illimité et les prises et ports USB sont là pour vous aider à recharger vos outils informatiques et de mobilité : quoi de plus normal pour des nomades.
Un Port HDMI est également accessible dans la chambre pour projeter au mur des films, des photos de vacances ou de famille, ou bien encore sa prochaine réunion de travail. Un dernier mot encore sur la chambre, en parlant de la douche. Semi circulaire et transparente, on profite de la lumière naturelle. L’hôte peut choisir entre douchette, jets massant, ou ciel de pluie, et là encore depuis votre tablette tactile, vous pouvez choisir votre ambiance lumineuse selon votre humeur. Une douche discothèque diraient certains, empruntant les codes du « mood-lightning » si cher à Boeing et son avion Dreamliner : le Boeing 787.
Enfin, Nomad Hôtels et écologie vont de pair, ici on maîtrise sa consommation d’eau, grâce à sa tablette, on trie ses déchets domestiques avec des corbeilles intelligentes, et on vit dans un univers fait de bois, issus de forêts à la gestion durable. Le bois est partout à la réception, et aussi dans toute la signalétique. La moquette des couloirs est en filets de pêche recyclés (normal pour un Groupe Hôtelier Breton : ndlr). Avec tous ces gestes éco responsables, le Nomad CDG, est reconnu par l’ADEME (Agence de Maîtrise de l’Energie) comme étant un bâtiment à énergie passive. On y récupère les eaux de pluies, récupère de l’énergie en traitant l’air, et on y utilise des panneaux solaires. Vert jusqu’au bout des doigts le Nomad ;
Vert comme son jardin anglais, bien fourni et bien agréable, qui serpente tout le long du bâtiment et sur une extrémité en mur végétal sur trois étages. Un étonnant jardin, dont profitent les hôtes depuis la réception, bien ouverte vers l’extérieur grâce a ses larges baies vitrées laissant entrer le soleil.
Il n’existe à l’heure actuelle que deux hôtels Nomad en France : à CDG et au Havre, mais il ont vocation à se décliner dans plusieurs métropoles françaises et à proximité des aéroports. Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux et Paris pourraient accueillir très bientôt les petits frères de la chaîne et les capitales Européennes ne seront pas oubliées également.
Un concept qui séduit les grands voyageurs adeptes du nomadisme high-tech et éco responsable.
© Richard BAYON.
http://www.nomad-hotels.com