Le Domaine de Locguénolé & Spa – Relais & Châteaux en Bretagne du Sud propose des séjours haut-de-gamme de bien-être.
La renaissance d’un lieu d’exception, une sublime réincarnation. C’est l’histoire d’une renaissance, celle d’un domaine prestigieux et emblématique de la Bretagne Sud qui, après trois ans de rénovation et trente millions de travaux, reprend vie sous la forme d’un écrin de luxe et de nature. Un hôtel de charme Relais & Châteaux, dans un lieu d’exception, une promesse de gourmandise, de sérénité, de confort et de détente.
Bienvenue au Domaine de Locguénolé & Spa
A vingt minutes de Lorient, à 495 km de Paris, au cœur d’une forêt multi-centenaire, le domaine est posé sur les rives du Blavet qui, comme un serpent de mer, sillonne à travers les terres et relie la forêt à l’océan. Au gré des marées, qui font respirer la rivière, et des saisons qui colorent les arbres, le paysage est à couper le souffle et le silence de la nature envoûtant.
Autour de trois bâtisses rassemblant 44 chambres et suites figurent trois logements rares : un bateau, un ancien poulailler et un gîte version luxe. Le domaine compte également deux restaurants (dont un gastronomique), un spa, deux piscines et un tennis.
« Nous sommes très fiers d’avoir réalisé la rénovation de cette maison à laquelle nous avons souhaité rendre ses lettres de noblesses. C’est une maison mythique, entre mer et forêt avec une âme particulière. Il y a cet accès direct à l’océan par le Blavet, qui vous emmène vers un champ des possibles, un fantasme. Et, de l’autre côté, il y a la beauté immuable des bois. C’est une fierté de reprendre le flambeau de ce domaine et de proposer un produit à la fois contemporain dans le confort tout en conservant le charme historique des lieux. » Johan Dubourdieu, directeur du Domaine de Locguénolé & Spa.
Ambiance retour des Indes…
En hommage à la citadelle de Port-Louis, toute proche et qui protégeait les nombreux trésors de la Compagnie des Indes, en hommage aussi à Lorient qui fut le port charnière entre le monde de l’Atlantique et de celui de l’océan Indien, l’architecte Christophe Bachmann, amoureux de la lumière, des matériaux naturels et des objets, a déniché autant que décliné une déco sublime et inspirante autour du thème du retour des Indes. En suspension dans le hall, les maquettes de vieux gréements accueillent les visiteurs comme elles accueillaient les fidèles dans les églises de Bretagne où les marins se mettaient ainsi sous la protection divine. Le ton est donné : le château et son enfilade de salons qui entourent le bar pourrait être le lieu de retrouvailles des navigateurs qui rapportent de leur lointains périples leurs aventures et leurs bibelots.
Comme un cabinet de curiosités, ces trois salons, pour autant d’ambiances cosy et délicieuses, regorgent de portraits, os de poisson-scie, gravures animalières, collection de carafes, poignée de cannes en bois gravées ou sculptées, vases de Chine, série de romans choisis, poisson-hérisson empaillé, coquillages… Chaque objet invite à la rêverie.