La famille Mama Shelter s’agrandit…Et de 11 Mama en France, 18 dans le monde.
Le plus récent, niçois, invite sous le soleil de la Côte d’Azur à découvrir ses 102 chambres, son restaurant, son rooftop avec piscine, bar et comptoir à pizzas, ses deux ateliers, ses deux studios, son patio et sa breakroom.
Mama Shelter Nice, artistique et joyeux, hédoniste et épicurien a jeté l’ancre en Méditerranée.
Mama Shelter Ti vouli ben*.*T’aime en niçois
« Quand j’ai compris que chaque matin je reverrais cette lumière, je ne pouvais croire à mon bonheur. Je décidai de ne plus quitter Nice » aimait à répéter Matisse qui comme nombre de peintres, Braque, Picasso, Léger, de Staël, Cézanne, Courot ou Renoir composèrent sur la toile leurs plus belles œuvres au sud du sud.
Nice, ville façonnée par les civilisations qui se sont confrontées, imbriquées, fière de ses racines latines, fière d’accueillir dès le XVIIIe siècle les Britanniques y prenant leur quartier d’hiver, finançant la construction de la Promenade des Anglais, le long de la baie des Anges, pour rejoindre la plage et la mer. Nice désormais estudiantine avec ses universités, ses grandes écoles qui à l’aplomb de la Méditerranée métamorphosent ses entrepôts délaissés en galeries d’art, restaurants, bars, où se mêlent toutes les générations.
Mama Shelter, festif et gourmand en s’installant dans le quartier Riquier, participe à cette renaissance. Serge Trigano à l’origine, avec ses fils Jérémie et Benjamin, de cette collection d’hôtels lifestyle s’en réjouit : « Depuis sa création, il y a 15 ans, Mama Shelter puise ses racines, son ouverture sur les autres, sa générosité, ses envies de partage, de fêtes, son esprit sur les bords de la Méditerranée. Quoi de plus naturel qu’un jour Mama se soit posé à Nice. Avec enthousiasme et passion. Le Mama Shelter Nice est tout à la fois le refuge des vacanciers heureux, des nomades de passage, ravis de savourer la douceur et l’art de vivre de cette belle ville. Mais c’est aussi le Mama des Niçoises et Niçois invités du matin au soir et du soir au matin, pour un verre, un café, un brunch, un déjeuner ou un dîner. Accueillir les habitants des villes où Mama s’installe, une de ses raisons d’être, la base de sa philosophie. »
A deux pas du Vieux-Port, du centre historique, de la ligne de tramway qui dessert l’aéroport et de la gare, Mama Shelter, en pionnier éclairé, occupant trois immeubles dont un début XXe, à la façade préservée, devient le cœur battant du quartier de Riquier, le mettant en lumière.
« Nice, terre métissée aux accents italiens, le vaut bien, affirme Cédric Gobilliard, Directeur Général de Mama Shelter, Nice qui toujours en mouvement, réinvente sans cesse ses quartiers, attirant de plus en plus de jeunes et de familles, comblant leurs et nos désirs d’évasion. Notre dernier-né en France, le 11e Mama, s’installe dans cette ville accueillante, nous enveloppant de son charme. Mama Shelter Nice, un lieu de vie et de partage où règne convivialité et créativité. Mama Shelter Nice raconte entre ses murs l’histoire à la fois ancienne et contemporaine de la ville, une histoire inspirante, gourmande, maritime et artistique. »
COMME SUR UNE TOILE DE PEINTRE
« Je connaissais Nice surtout à travers les œuvres des nombreux peintres qui s’y sont installés, subjugués par sa lumière à nulle autre pareille, ses cieux marbrés de bleus, ses couleurs très italiennes » raconte enthousiaste et séduit Benjamin El Doghaïli, le designer du projet, à la tête du studio de création des Mama Shelter. Je me suis imprégné des palettes, des motifs, des sujets, des collages de Matisse, aux oiseaux de Braque, des céramiques de Picasso époque Vallauris et plus prosaïquement de l’ambiance méditerranéenne, du linge accroché aux fenêtres et que la brise chahute, des parfums, des cris, des rires, des étals des marchés, des ruelles secrètes de la vieille ville débouchant sur des placettes où les amoureux échangent des baisers et des promesses d’avenir. Ébloui, ivre de tant d’impressions, j’ai décidé que le blanc si symptomatique des façades méditerranéennes, telle une toile vierge de peintre serait mon fil conducteur. »
Un blanc rehaussé de fresques peintes à la main rendant hommage à ces artistes qui débordent sur le lobby illuminé de grandes glaces, ponctuées de tentures géantes de l’artiste Kate Mary. « Revenant à mes amours, à mon goût pour les teintes gaies, pétantes parfois, j’ai marié le jaune safran, l’ocre rouge, le bleu outremer, le vert olive niçois avec les palettes barbouillées des peintres impressionnistes.
Et, avec la complicité d’artistes et d’artisans talentueux comme Lola Mercier ou Beniloys, j’ai joué au jardinier semant des fruits, fleurs et légumes jusqu’en haut des colonnes rehaussées de chapiteaux de plâtre surmontés de bouquets qui changeront au gré des saisons, lavande, tournesol, blé coquelicot, à la manière d’une nature morte de Van Gogh ! Au centre du restaurant, un bar en bois d’olivier trône sur un sol pavé de tommettes parfaitement posées par une équipe de carreleurs remarquable. Des sculptures lumineuses suspendues inspirées de celles qui jonchent les rues siciliennes les jours de processions religieuses, trahissent mes coups de foudre pour Nice ancrant Mama en son cœur ».
Côté chambres, le blanc toujours, taloché à même les murs, égayé de rideaux ocre comme les murs des immeubles niçois du XIXe, un sol à l’accent pointilliste création vibrante de l’artiste Laureline Galliot. Et, poudrée de rose comme les joues exposées au soleil, les carreaux des salles de bains forment un échiquier infini du sol au plafond.
L’ART DE LA FLÂNERIE
Benjamin et toute l’équipe des Mama ont arpenté la ville de fond en comble pour se l’approprier, la comprendre, s’en inspirer. « C’est ce qui nous a donné l’envie en guise de patio et pour créer un sas entre les trois immeubles, de disposer une venelle intérieure végétalisée, fleurie, couverte d’une verrière se rétractant aux beaux jours. A l’instar de la rue Masséna piétonne mais aussi des ruelles qui poétiquement serpentent sous des arcades, des impasses verdoyantes. On y flâne, y circule, s’y attarde pour grignoter, prendre un verre, conter fleurette, lire un roman de Jean-Marie Le Clézio, prix Nobel de Littérature, né à Nice comme il l’évoquait il y a peu : « Dans mon enfance, j’ai aimé les bateaux, les pointus des pêcheurs, les vieux cargos rouillés qui trafiquaient le vin rouge et le liège sanglant venu de l’autre côté de la Méditerranée, et bien sûr les ferrys corses qui, outre les touristes et leurs autos, transportaient des vaches et des chevaux. »
Au rez-de-chaussée, ce patio parenthèse verdoyante, en haut, perché sur le toit, symphonie bleue, un bassin de nage avec ses canisses, ses ventilateurs, ses transats, son bar, ses mosaïques. Deux univers pour vivre à la niçoise dehors et dedans suivant les humeurs de la météo et suivant ses envies.
Dès que le mistral chasse les nuages, on s’offre une récréation, une escapade joyeuse en gagnant le rooftop, où derrière des toiles imprimées façon canisse, la piscine joue les vedettes. Maillot de bain, lunettes noires, huile solaire, on nage, on s’éclabousse, on s’amuse avec pour seuls vis-à-vis les toits environnants. On se dore sur les transats, disposés sur le deck en gradin. On savoure au bar une citronnade fraîche puis affamé, les papilles mises en émoi par les odeurs des mets qui grésillent, on succombe au plaisir de partager quelques mets exclusifs du Mama Shelter Nice.
À TABLE, C’EST L’HEURE !
Comme ses aînés, comme une vraie Mama, Mama Nice régale avec générosité. Valse-hésitation, selon l’heure, selon la température, selon son humeur, entre l’offre du restaurant principal, et la carte originale, du rooftop. On aime en rez-de-chaussée, la grande salle avec sa cuisine ouverte ses miroirs obliques, ses colonnes de fonte enjolivées de fresques où les tables d’hôtes rythment l’espace et donnent le ton : convivial, bon enfant, à la bonne franquette. On pioche, pour le lunch et le dîner, dans la carte Mama aux accents méditerranéens des plats faits maison, des planches à partager, des salades vitaminées, à moins de préférer le menu du jour. Au petit-déjeuner, en buffet le salé le dispute au sucré, les assiettes débordent contentant les plus affamés. Le dimanche, impossible de zapper le brunch, à vivre en bande, tous âges confondus.
On aime, parce qu’il symbolise les beaux jours, les moments entre amis, la vie sudiste, passer aussi ses journées, ponctuées de pauses gourmandes sur le rooftop. « Ici, en plein ciel, confie Matthieu Devaux, second chef exécutif, chargé avec Jean Grezel, de définir les concepts des restaurants de tous les Mama du monde, le soleil, la douceur ambiante soufflent une cuisine de plein air, comme celle qu’on apprécie dans son jardin, au bord de sa piscine, voire sur la plage. On prépare viandes, poissons, légumes sur un barbecue Big Green Egg qui sublime les saveurs où on les grille dans un four à charbon Josper qui leur apporte un petit goût de fumé. Addictif. Ou on dévore des yeux avant de les croquer les pizzas Al Taglio, pizzas cuisinées sur plaque, servies à la part, disposées sur un comptoir. On les adopte dès l’apéritif, entre amis, en famille avec un verre de rosé ou un cocktail. »
TRAVAILLER… MINE DE RIEN
Et oui, Mama sait aussi se mettre en quatre, faire preuve d’imagination, d’ingéniosité, pour personnaliser séminaire, lancement de produits, réunion au sommet, événement. A Nice, Mama jongle avec intelligence entre travail et loisir, boulot et réjouissances. Ses équipes rompues à recevoir tout aussi bien les vacanciers que les professionnels, à coordonner les activités, suscitent des animations, des pauses, organisent des apéritifs, des lunchs, des cocktails personnalisés. « A cœur vaillant rien d’impossible », Mama adopte la devise de Jacques Cœur, grand argentier du roi Charles VII pour dans ses deux ateliers, ses deux studios, sa breakroom, son patio voire ses espaces communs faire de tous types d’événements, tous types de réception, un moment à part. « C’est pourquoi précise Benjamin El Doghaïli : « j’aménage avec autant de passion, autant de fantaisie ces espaces pros afin qu’ils soient tout à la fois fonctionnels et ludiques parce qu’avant tout, le travail c’est la santé. »
QUE VIVE LE CARNAVAL, QUE VIVE MAMA
Mama qui signe, depuis toujours, ses chambres de masques de déguisement était prédestinée à s’installer à Nice, où entre fin février et début mars, chaque année, le carnaval bat son plein, mobilisant toute la population, attirant des foules du monde entier. L’an prochain avec le thème de la Mer et des Océans, le Roi du carnaval déferlera avec brio, précédant le Sommet des Nations unies sur les océans, qui se tiendra en juin sur le port de Nice. Des évènements qui prédisent de belles réjouissances au Mama. Des moments de fêtes, de joie, d’euphorie partagés. Juste le temps de réserver sa chambre pour derrière les chars suivre la foule en délire et le dernier jour voire le roi partir en fumée sous les hourras.
SOUVENIR, SOUVENIR
On sèche une larme en quittant Mama Nice et pour garder sa magie on pioche dans sa boutique : des pâtes, coquillettes et linguines, fabriquées dans les Pouilles, juste pour Mama par un producteur à partir de son propre blé dur ancien. Sa famille se transmet de génération en génération les graines. Prix : 8 € ; une cruche au design exclusif signé par un artisan. On y dresse un bouquet de fleurs ou on y sert un rosé frais qui rappelle le sud. Prix 79 €.
Mama Shelter Nice est au taquet pour démarrer la saison estivale, avec la complicité d’une équipe motivée, heureuse de s’embarquer dans cette aventure. Pour compléter sa dream-team, participer à cette ouverture au bord de la Méditerranée, Mama Shelter Nice recrute à de nombreux postes. Soufflez-le à vos amis