72 % des Français voient les vacances post-rupture comme un moyen idéal pour tourner la page
À l’approche de la Saint-Valentin, période de réflexion et d’émotion pour beaucoup, Opodo, leader européen des agences de voyages en ligne, s’est intéressé de plus près aux comportements des Français après une rupture amoureuse. Une étude* récente met en lumière des tendances fascinantes, révélant comment les voyages peuvent jouer un rôle crucial dans le processus de résilience et de transformation personnelle.
Près de trois Français sur quatre (72%) estiment que prendre des vacances après une rupture amoureuse représente une solution efficace pour tourner la page et se recentrer sur soi-même ;
Près de la moitié des jeunes adultes âgés de 25 à 34 ans (44%) ont déjà fait appel à une application de rencontre lors de leurs séjours ;
Environ un Français sur quatre (23%) aimerait organiser des vacances « passionnelles » avec un(e) ami(e) qu’ils jugent attirant(e).
Voyager, une thérapie pour surmonter une rupture
L’étude révèle que 72 % des Français considèrent les vacances post-rupture comme un moyen efficace pour aller de l’avant. Cette tendance est particulièrement marquée chez les jeunes Français, avec 79 % des 18-34 ans qui plébiscitent les voyages après une séparation. Pour ces jeunes adultes, ces escapades représentent une opportunité de se recentrer sur eux-mêmes tout en réalisant de nouvelles expériences. Par ailleurs, 44 % des 25-34 ans et 40 % des 18-24 ans déclarent avoir déjà utilisé une application de rencontre pendant leurs vacances, mettant en lumière un mélange d’aventure et de volonté de découverte personnelle. La tendance est légèrement plus marquée chez les hommes (30%) que chez les femmes (20%).
Les Français figurent dans le top 5 des nationalités qui utilisent le plus les applications de rencontre en vacances :
Espagnols (60 %)
Allemands (39 %)
Portugais (29 %)
Italiens (27 %)
Français (24 %)
Bien que les Français soient les premiers à privilégier les vacances festives après une rupture, leurs préférences globales se répartissent ainsi :
Vacances relaxantes : 32 %
Vacances festives : 26 %
Vacances culturelles : 18 %
Vacances sportives : 14 %
Vacances culinaires : 4 %
Les choix de vacances post-rupture varient selon les cultures. Les Français (26 %) se distinguent en étant la première nationalité à privilégier des vacances festives alors que les Anglais (26 %) optent davantage pour des escapades culturelles. De leur côté, les Espagnols et les Portugais (49 %) préfèrent opter pour des séjours relaxants.
Une nouvelle ère des voyages post-rupture
Ce phénomène illustre une évolution des mentalités : les Français ne perçoivent plus les ruptures comme des échecs, mais plutôt comme des opportunités de transformation personnelle. À une époque où les vacances jouent un rôle croissant dans la quête du mieux-être, cette étude menée par Opodo met en avant une tendance émergente qui redéfinit les façons de voyager.
Les Français comptent parmi les nationalités les plus susceptibles de considérer une aventure romantique avec une autre personne que leur partenaire pendant les vacances (20 %), à égalité avec les Espagnols. En revanche, seuls 12 % des Anglais déclarent y avoir pensé.
Près d’un Français sur quatre (23 %) souhaiterait organiser des vacances « passionnelles » avec un(e) ami(e) qu’ils trouvent attirant(e). Par ailleurs, 12 % envisageraient de partir avec une personne étrangère ou un(e) collègue, et 10 % avec un(e) ex. On note également une différence marquée selon le genre : 32 % des hommes français se déclarent prêts à partir en vacances « passionnelles » avec une amie jugée attirante (contre 17% des femmes), tandis que 32 % des femmes françaises préfèrent rester fidèles à leur partenaire actuel (contre 23% des hommes), refusant l’idée de vacances amoureuses avec quelqu’un d’autre. Enfin, les jeunes générations semblent particulièrement réceptives à cette tendance : 51 % des 18-24 ans et 50 % des 25-34 ans déclarent avoir envisagé ou vécu une aventure amoureuse en vacances malgré la présence d’un(e) partenaire. En revanche, cette inclination diminue nettement chez les seniors : 33 % des 55-64 ans et seulement 26 % des 65 ans et plus.