Hôtel Haïtza fait partie de la mémoire collective des habitants du Pyla.

Riche d’un passé mémorable, l’Hôtel Haïtza ( « le roc » en basque ) fait partie de la mémoire collective des habitants du Pyla.

Bâti par Louis Gaume en 1930, l’établissement, d’architecture néo-basque, est le témoin privilégié de l’âge d’or et de l’essor de la Côte d’Argent. Haïtza devient rapidement un lieu très couru : Annabella, vedette de
cinéma, la couturière Jeanne Lanvin, les familles Rothschild, Michelin, mais aussi Charles Trenet, Yves Montand… y séjournèrent. L’endroit devient le point de rencontre incontournable des amoureux du Bassin.

William et Sophie Téchoueyres, déjà à l’origine de la renaissance de l’Hôtel La Co(o)rniche, autre perle du
Bassin, offrent une nouvelle vie à l’hôtel Ha(a)ïtza avec la complicité de Philippe Starck. Animés par la volonté de préserver et de faire revivre l’âme du pays, William, Sophie et leur fils Thomas souhaitent insuffler une seconde jeunesse à Ha(a)ïtza, en lui apportant ce petit supplément d’âme qui fait leur force et leur succès : un mélange de convivialité, de simplicité et de proximité. L’objectif : redonner à cet hôtel son panache d’antan, y accueillir leurs amis, et faire découvrir l’art de vivre et les charmes de cette région qu’ils adorent. Ils écrivent avec cette aventure inédite un nouveau chapitre de leur histoire sur les bords du Bassin.

L’Hôtel Ha(a)ïtza compte 38 chambres, incluant des suites, des suites juniors et un appartement. L’Hôtel propose également différents espaces de détente, pour des séjours placés sous le signe du charme et du
raffinement… Haïtza 1930 Ha(a)ïtza 2016 Autre amoureux inconditionnel du Bassin d’Arcachon,
 Philippe Starck, déjà investigateur de la rénovation de La Co(o)rniche, a su capter leurs envies et personnaliser l’endroit à leur image. Tout en apposant sa patte singulière, ponctuant le lieu d’objets de design, de masques africains, de peintures et d’oeuvres diverses, dans un subtil mélange d’art à la plage…
« J’aime ouvrir les portes du cerveau humain » Philippe Starck. La question ne s’est pas posée : pour William et Sophie Téchouyeres, après la rénovation de La Co(o)rniche, une nouvelle collaboration avec le designer s’impose comme une évidence.

Pendant plus de 30 années, ce créateur, designer et architecte insolite et polymorphe, en dehors des conventions, a toujours été présent dans notre quotidien, en créant des objets « bons » avant d’être beaux, et des destinations icôniques qui emmènent les membres de sa « tribu culturelle » ailleurs, hors d’eux-mêmes, et surtout, les amènent au meilleur.

A travers son concept de « design démocratique », augmenter la qualité des objets pour baisser les prix afin de donner le meilleur au plus grand nombre, Starck est apparu comme un pionnier quand le design était destiné exclusivement à une élite. Peu de domaines n’ont pas été explorés par le créateur : des
meubles pour particuliers aux maisons en vente par correspondance, des motos aux méga yachts, et même la direction artistique de projets de voyages dans l’espace… entre autres. Les convictions écologiques de Starck étaient une évidence avant qu’elles ne deviennent populaires pour le respect de l’avenir de la planète. Très tôt déjà, il crée le catalogue Good Goods, le catalogue des non-produits pour les non-consommateurs du futur marché moral, sa propre compagnie de nourriture organique, et plus récemment, il développe le concept révolutionnaire de « l’écologie démocratique », en créant des éoliennes personnelles à des prix accessibles, qui annoncent également des bateaux solaires, des véhicules à hydrogène…

La piscine

Le Bar
Le Bar de l’Hôtel est une invitation à découvrir une atmosphère chaleureuse chère à Philippe Starck. Le créateur a utilisé des carreaux de lave émaillée au sol, et des carreaux de terre cuite de Raujolles aux murs, dans un kaléïdoscope unique de couleurs originales et éclatantes qui nous transporte dans la chaleur d’un vieux bar brésilien. La toile acoustique du plafond réalisée par Ara Starck enveloppe le bar dans une atmosphère chatoyante, à la musique éclectique et aux assises confortables ; c’est l’endroit parfait pour se détendre en douceur, à tout moment de la journée,
et partager des moments festifs entre amis ou en amoureux. A la tombée du jour, place aux cocktails inventifs concoctés par un bartender très inspiré. Passage obligé pour les amateurs avertis, le Bar Ha(a)ïtza s’impose comme un nouveau rendez-vous incontournable du Bassin. Le Grand Salon est un lieu chaleureux, profondément humain. Il naît de l’accumulation de souvenirs, de mémoires, d’images et de mots rassemblés
par un Homme qui aurait beaucoup rêvé et voyagé en Afrique. Ici tout est dans l’évocation, dans la subjectivité.

« Le Grand Salon est né de l’idée que je me fais de l’appartement de Tintin à Bruxelles à ses retours d’expéditions en Afrique. » Ph.S On retrouve dans ce salon d’occidental vaguement bourgeois des objets
africains iconiques mais détournés : des têtes aux proportions étranges en terre recouvertes de perles multicolores, des masques en hévéa dont l’aspect neuf et sans patine intrigue telles des reproductions anachroniques de sculptures d’art primitif. Sur les étagères, cohabitent une sélection de livres, photos, peintures et sculptures, qui retracent par un mélange éclectique et harmonieux, l’histoire réelle et imaginaire d’une famille qui aurait toujours vécu ici. Dans le Grand Salon, tout est vrai et à la fois étrange, d’ici et d’ailleurs.

La salle de fitness
« La brasserie Ha(a)ïtza est juste la brasserie de notre mémoire collective : intemporelle, grande, chaleureuse, vivante mais la différence est qu’elle est au Pyla, devant la mer, près de la dune et que ses patrons sont toujours les merveilleux Sophie et William de La Co(o)rniche. Rien de bien particulier mais l’addition du tout est unique et en fait encore un nouveau petit paradis.»

Le Café Ha(a)ïtza cultive une ambiance

simple et détendue. Un bois lumineux habille les lieux jusqu’au plafond. Vieilles photos, trophées de pêche
et hameçons suspendus donnent à cette brasserie chaleureuse des airs de vieux repère de pêcheur. En
salle et en terrasse : mobilier en cèdre et imposantes tables d’hôtes en marbre. Le sol est décoré de briquettes et mosaïques de carreaux de ciment élégants et colorés.

1, avenue Louis Gaume, 33115 Pyla-sur-Mer
t. +33 (0) 5 56 22 06 06 – www.haaitza.com